Monsieur Cédric LEJEUNE

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Domicilié à Melen (4633)
Né à Verviers (4800) le samedi 25 avril 1981
Décédé à Ster (4970) le mercredi 18 avril 2007 à l'âge de 25 ans

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le jeudi 19 avril 2007.

Les hommages

2 hommages  
Hommage 

Mon cookie,

Ca fait déjà un mois maintenant que tu es parti rejoindre papa et les autres.
Tu me manques énormément.
Je me sens si vide sans toi. Une partie de moi est morte en même temps que toi.
Tu es la personne la plus importante de toute ma vie.
Perdre un frère, c'est déjà dur mais toi, tu étais bien plus que ça pour moi. Tu étais mon équilibre, ma vraie raison de vivre.
Je ne veux pas réaliser que tu es parti sans moi car je sais que je suis incapable de m'en remettre.
Tu es toute ma vie et je refuse que tu nous abandonnes. Je ne te laisserai pas t'enfuir comme ça.
Je te demande juste une chose, de là-haut, protège bien maman et Cindy car maintenant, elle est comme une soeur pour moi.
Et le jour où j'aurais un enfant, n'oublie pas que tu seras le parrain.
J'aimerais revoir ton sourire, t'entendre râler et pouvoir parler avec toi des heures entières comme on l'a fait si souvent.
J'aimerais aussi te voir rouler en moto car tu es vraiment un King. Tu n'as peur de rien et c'est impressionnant de te coir rouler.
Tu me manques, même si je ne veux pas partir tout de suite, je me réjouis de monter là-haut pour venir te retrouver et recommencer là où on s'est arrêté.
Je te promets de faire tout ce que je peux pour réussir à savoir ce qui t'est arrivé car je sais que cet accident n'était pas de ta faute et que tu as voulu éviter quelque chose.
Maintenant, je vais te laisser aller rouler avec ton Evo sur ton circuit privé car je t'ai déjà ennuyé assez.
Encore merci pour tout ce que tu as toujours fait pour moi. Ma voiture est superbe et c'est grâce à toi.
Je t'aime pour l'éternité et je ne te laisserai jamais tranquille. Je ne t'oublierai jamais, mon ange.
Gros bisous et bonjour à tous les autres.

Audrey (Fire Ball) Lejeune- 19-05-07

Hommage 

Cédric, tu aimais la vitesse mais cette fois, ça a été bien trop rapide : pourquoi la mort t’a-t-elle emporté si tôt ?
En rentant chez moi, après t’avoir fait mes adieux, un beau ciel étoilé m’a remonté le moral : j’ai pensé que maintenant tu faisais certainement partie de ces étoiles filantes devant lesquelles tout le monde s’émerveille !
Karl

KARL THYSSEN- 21-04-07